L’Uni-vers, le Cosmos et ses Mystères :
Je ne vous apprends rien et pourtant : nous vivons dans l’Univers, le Cosmos, qui comprend la Voie lactée et, entre autres, la planète Terre, dans la Vie telle que nous la connaissons aujourd’hui.
Une vie qui s’ajuste à chaque instant.
Un Univers infini et en expansion constante, selon les études que nous en donnent les scientifiques.
Devant tant de grandeur, d’infinis, de possibles, de puissances universelles et de Vie, dépassant la compréhension et la préhension humaine, je peux me sentir humble et empli de grâce de participer à tant de mystères.
Devant tant de grandeur, je peux me sentir humble et puissant en même temps !
Humble face à l’inévitable, humble dans l’acceptation que tout n’est pas sous mon contrôle, humble devant tant de mystères et, en même temps, puissant de créativité, puissant des sourires, de la courtoisie, de l’empathie, de la contemplation, de l’émerveillement, de la capacité de réflexion, de la conscience que je peux mettre en chaque chose.
Waouh, puis-je voir la grâce qui m’est donnée de faire partie du cosmos, sur la terre, pour un temps donné ? Un don qui ne semble pas toujours simple, voire effroyable quand la nature ou l’humain semble s’emporter et pourtant…
Je suis là, je peux voir, vivre, aimer, créer, partager, échanger, réfléchir, assembler et désassembler…
Je peux choisir de m’harmoniser avec la vie. Ou, tout au moins, prendre conscience de cette possibilité.
Aujourd’hui, en compagnie de 8 milliards d’autres humains sur la planète, je Vis.
Dans une nature abondante, je respire.
Succédant à près de 80 milliards de naissances et de décès selon les estimations de l’homme, je Vis. Nous Vivons.
Nous Vivons dans un Univers infini qui suit des règles de Vie bien mystérieuses encore pour notre compréhension.
Il peut être d’une grande beauté, réchauffant l’âme et le cœur, de voir, de percevoir les beautés de l’Univers, de la nature dans laquelle nous vivons, de tous ces cycles de vie que nous traversons.
Les idées qui me viennent en pensant à l’Uni-vers, à la Vie sont d’une grande abondance ; et vous, quels sont les mots, les phrases qui vous viennent ?
Voici quelques-unes de mes pensées : émerveillement, gratitude, remerciement, grâce, observation, découverte, confiance, se laisser porter et accompagner, respirer la vie, expirer le superflus et le périmé afin qu’ils aillent, comme les feuilles mortes de l’automne, faire le compost pour la vie de demain.
Ces mots, ces pensées se trouvent ponctués d’éternels « pourquoi » et « comment » qui éclosent en permanence, accompagnés souvent encore, je le reconnais, de : « ras le bol », « marre », « qu’est-ce que je fais ici ? », »mais qu’est-ce qu’elle me veut cette Vie, … ?
Nous appartenons à ces mystères de la Vie et nous sommes la suite de ce que nos ancêtres ont créé, conscientisé ou ignoré des forces de Vie.
Nous sommes la suite de leurs observations des beautés et des mystères de la vie. Nous sommes la suite de leurs projets, de leurs créations, de leurs peurs, de leurs besoins de survie…
Et tout ce qui précède est présent à chaque instant de notre vie et tout ceci est déjà présent dans les futurs possibles.
C’est tout cela, l’Univers, et plus encore très probablement
Comment nourrir cette conscience de l’univers, du cosmos, de la Vie et ses mystères… ?
Quelques pistes peut-être, mais laissez place à vos ressentis ; n’hésitez pas, si vous en ressentez le besoin, à rejoindre des groupes qui en font la découverte.
Découvrir, entretenir, développer, imaginer, créer…
- l’émerveillement,
- le sentiment de grâce, de gratitude,
- l’observation simple et légère d’un lever ou d’un coucher de soleil et de toute Vie,
- sentir, ressentir l’ appartenance au cosmos, à la vie,
- sentir, ressentir la vie qui m’anime,
- sentir, ressentir la joie d’être porté, accompagné, traversé, dynamisé par la Vie,
- honorer peut-être les résiliences, les observations, les découvertes harmonieuses de nos ancêtres,
- se balader dans la nature, dans la vie, remercier, respirer,
- laisser émerger les pouvoirs d’observation, de création, de participation en harmonie avec les merveilles du vivant,
- sentir le soleil, le vent, le froid, la chaleur, l’eau sur la peau,
- toucher les arbres, les fleurs, le sol et ses différentes structures…,
- partager ces moments d’émerveillement…
Cette première conscience permet de diminuer, de résilier même parfois, les sentiments de solitude, d’abandon, de non-appartenance… ces derniers pouvant créer de nombreuses dépendances, fantasmes, aliénations….
Nous avons, ici, un premier grand support aux interactions relationnelles dans les cafés-théâtres ou dans les partages en consciences que nous pourrons vivre, expérimenter sur terre : « Nous appartenons tous à une même Vie depuis l’aube de l’humanité. La terre nous porte et nous nourrit, le soleil nous réchauffe et nous éclaire ; ce couple, via les plantes, nous apporte l’oxygène que nous respirons, la Vie est en nous… »
La conscience d’appartenance à plus grand, à la vie, a été grandement occultée dans un monde où le temps et l’attention sont focalisés sur la productivité, les jeux de pouvoir, l’abrutissement dans le travail ou dans les divertissements et même aux confins des perversions, de la dénaturation de l’humain et de sa Vie.
Une conscience qui s’est perdue dans la mentalisation et l’utilisation de nouvelles « techniques » pour entrer en contact avec la nature, avec sa propre nature…
Cela m’amuse et m’âme-use souvent de voir « faire de la méditation » et non « être en méditation », de « faire de la communion avec les arbres » et non « d’être avec l’arbre », de « faire l’amour » et non d’être Vie et Amour » …
Nous avons appris à faire des expériences chimériques de la nature, du cosmos, de la vie, de l’l’amour.
Ici peut s’offrir à nous la possibilité de trouver, retrouver notre appartenance à la vie, à être la vie dans la vie. Peut-être.
Cette première conscience permet de se redresser, d’avoir une place dans la Vie et j’oserais dire sans même « devoir » faire sa place, sans devoir « écraser », « utiliser » d’autres personnes pour être soi-disant quelqu’un, dans les cafés-théâtres de nos relations…
Ici, toute personne devient légitime par sa simple présence sur terre, par son existence, par son appartenance à la Vie elle-même, par son Pot’en’Ciel totalement unique.
Chaque être, chaque humain faisant partie de la Vie et du Vivant est en quelque sorte un trait d’union entre le ciel et la terre.
Chaque Être, chaque humain a une place spécifique et créative, et pourrait même avoir une place exceptionnelle pour incarner, expérimenter une partie de vie sur terre. Allez savoir
Nous ne parlons pas ici de « devoir » ou de « mission » de vie, nous parlons ici de vivre l’appartenance à la vie avec qui nous sommes…
Oh, il ne s’agit pas de nier ce que nous pourrions qualifier, aujourd’hui, de triste réalité se répétant à travers les siècles, où les philosophes de la sagesse et de la réalité côtoient tous les plis et replis de la nature humaine avec ses besoins de pouvoir, sa diversité, sa perversion et l’amour simple du quotidien.
C’est peut-être juste l’opportunité de percevoir cette nature humaine, où l’homme semble oublier son appartenance à la Vie, par besoin de pouvoir ou même de paix, par le besoin de s’occulter à toutes les facettes du Vivant, pour se construire un simulacre d’équilibre perçu comme sécure mais empli de dénis et d’aveuglements, de croyances choisies ou reçues, plus ou moins adaptées à notre vie, dans notre espace personnel.
Trois consciences en Une
- L’UNI-VERS
- Le moi créatif Unique relié à son Pot’en’Ciel
- Nos interactions, nos incarnations dans la vie.
Entrer dans ces trois consciences dans la Vie et le soin ne crée-t-il pas un pouvoir alchimique porté par l’énergie de Vie et de création ?